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Considérations anatomiques
الأربعاء، 8 فبراير 2012
التسميات:
franch
Considérations anatomiques
L’étude de la morphologie coronaire des incisives et des canines fournit des
indications précieuses pour les traiter et restaurer correctement la fonction et
l’esthétique.
Les observations de Le Huche
[46]
sur la morphologie des incisives et des canines
ont montré une grande diversité de formes et font ressortir un type moyen de dent,
décrit antérieurement par Marseiller
[49]
, type plutôt favorable aux diverses
techniques restauratrices. Dans la pratique, on rencontre souvent des dents dont la
morphologie est très éloignée de ce type moyen, variant d’un individu à l’autre, dans
le volume mais aussi dans les proportions relatives à chaque partie.
Incisives
La forme d’une incisive est appréciée par l’étude de son indice mésio-distal. La
variation de cet indice fait ressortir des incisives très carrées, moyennement carrées
et triangulaires. Il est important pour nous lors de nos traitements, au moment de
reproduire le bord mésial ou distal d’une face vestibulaire, de redonner à la dent son
harmonie d’origine.
Des différences considérables s’observent aussi dans le sens vestibulo-lingual.
L’épaisseur des incisives varie aussi dans de grandes proportions, ce qui a pour
conséquence l’implication plus ou moins rapide des faces vestibulaires ou palatines
au cours de l’évolution de la carie (fig. 7).
Les incisives maxillaires, côté palatin, présentent deux fortes crêtes marginales
mésiale et distale qui se réunissent pour former le cingulum. Ces crêtes sont très
importantes car elles participent à l’occlusion et doivent être restaurées en cas de
délabrement carieux pour que notre traitement réponde à des critères fonctionnels.
Canines
Canines
Leur morphologie est bien différente de celle des incisives tant en largeur qu’en
épaisseur et en longueur. L’aspect de la dent est plus globuleux. La face palatine
présente aussi des crêtes marginales qui participent de façon importante à
l’occlusion.
Les faces proximales des incisives et des canines ont toutes une forme triangulaire
et présentent dans leur partie cervicale une petite dépression, beaucoup plus
marquée sur les canines maxillaires et sur les incisives mandibulaires.
Dans tous les cas, le choix de la matrice dont l’utilisation doit redonner le modelé
des faces proximales est délicat. En effet, la présence de dépressions cervicales sur
ces faces rend difficile la réalisation du joint à ce niveau, cette limite cervicale de la
restauration en étant le point faible. De plus, un survolume de cette face provoque
une réduction anormale de l’espace interdentaire, une compression de la papille, une
rétention alimentaire et une inflammation chronique des tissus gingivaux. La
reproduction des bombés proximaux est impérative afin de reconstituer les points de
contact nécessaires à la bonne physiologie de l’espace interdentaire.
Variations de teintes
Les incisives et les canines présentent des teintes coronaires variables d’un individu
à l’autre, d’une dent à l’autre et aussi suivant l’épaisseur de l’émail sur la même dent.
La teinte est celle de la dentine apparaissant au travers de l’émail, la portion
cervicale de la dent étant plus jaune que le bord libre où l’émail prédomine
L’étude de la morphologie coronaire des incisives et des canines fournit des
indications précieuses pour les traiter et restaurer correctement la fonction et
l’esthétique.
Les observations de Le Huche
[46]
sur la morphologie des incisives et des canines
ont montré une grande diversité de formes et font ressortir un type moyen de dent,
décrit antérieurement par Marseiller
[49]
, type plutôt favorable aux diverses
techniques restauratrices. Dans la pratique, on rencontre souvent des dents dont la
morphologie est très éloignée de ce type moyen, variant d’un individu à l’autre, dans
le volume mais aussi dans les proportions relatives à chaque partie.
Incisives
La forme d’une incisive est appréciée par l’étude de son indice mésio-distal. La
variation de cet indice fait ressortir des incisives très carrées, moyennement carrées
et triangulaires. Il est important pour nous lors de nos traitements, au moment de
reproduire le bord mésial ou distal d’une face vestibulaire, de redonner à la dent son
harmonie d’origine.
Des différences considérables s’observent aussi dans le sens vestibulo-lingual.
L’épaisseur des incisives varie aussi dans de grandes proportions, ce qui a pour
conséquence l’implication plus ou moins rapide des faces vestibulaires ou palatines
au cours de l’évolution de la carie (fig. 7).
Les incisives maxillaires, côté palatin, présentent deux fortes crêtes marginales
mésiale et distale qui se réunissent pour former le cingulum. Ces crêtes sont très
importantes car elles participent à l’occlusion et doivent être restaurées en cas de
délabrement carieux pour que notre traitement réponde à des critères fonctionnels.
Canines
Canines
Leur morphologie est bien différente de celle des incisives tant en largeur qu’en
épaisseur et en longueur. L’aspect de la dent est plus globuleux. La face palatine
présente aussi des crêtes marginales qui participent de façon importante à
l’occlusion.
Les faces proximales des incisives et des canines ont toutes une forme triangulaire
et présentent dans leur partie cervicale une petite dépression, beaucoup plus
marquée sur les canines maxillaires et sur les incisives mandibulaires.
Dans tous les cas, le choix de la matrice dont l’utilisation doit redonner le modelé
des faces proximales est délicat. En effet, la présence de dépressions cervicales sur
ces faces rend difficile la réalisation du joint à ce niveau, cette limite cervicale de la
restauration en étant le point faible. De plus, un survolume de cette face provoque
une réduction anormale de l’espace interdentaire, une compression de la papille, une
rétention alimentaire et une inflammation chronique des tissus gingivaux. La
reproduction des bombés proximaux est impérative afin de reconstituer les points de
contact nécessaires à la bonne physiologie de l’espace interdentaire.
Variations de teintes
Les incisives et les canines présentent des teintes coronaires variables d’un individu
à l’autre, d’une dent à l’autre et aussi suivant l’épaisseur de l’émail sur la même dent.
La teinte est celle de la dentine apparaissant au travers de l’émail, la portion
cervicale de la dent étant plus jaune que le bord libre où l’émail prédomine
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